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 MALO › loneliness is the universal problem of rich people.

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Malo Fowler
Malo Fowler
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MessageSujet: MALO › loneliness is the universal problem of rich people.   MALO › loneliness is the universal problem of rich people. EmptyMar 5 Aoû - 19:16



malo troy fowler

“ citation, citation, citation ”
nom : fowler. prénom(s) : malo, troy, dorian. date et lieu de naissance : 22 décembre, france. origines : américaines. âge : vingt-quatre ans. état civil : célibataire. orientation sexuelle : hétérosexuelle.  statut financier : très aisé. études/métiers : écrire ici. un film ; écrire. une musique ; don't trust me - 30h3!. groupe : écrire ici. avatar choisi : colton haynes. (c) crédits : écrire ici.
traits de caractère : (positifs) écrire ici ∞ écrire ici ∞ écrire ici (négatifs) écrire ici ∞ écrire ici ∞ écrire ici
des facts : écrire ici ∞ écrire ici ∞ écrire ici ∞ écrire ici ∞ écrire ici ∞ écrire ici


California here we come
Right back where we started from
TON MEILLEUR SOUVENIR DE TES ANNÉES LYCÉE: on ne te demande qu'un minimum de trois lignes, tu peux présenter ta réponse sous la forme que tu le souhaites.  

TON PIRE SOUVENIR DE TES ANNÉES LYCEE: on ne te demande qu'un minimum de trois lignes, tu peux présenter ta réponse sous la forme que tu le souhaites.  

AS-TU DES REGRETS ? : on ne te demande qu'un minimum de deux lignes, tu peux présenter ta réponse sous la forme que tu le souhaites.
 
ES-TU SATISFAIT(E) DE CE QUE TU ES DEVENU(E) ? : on ne te demande qu'un minimum de deux lignes, tu peux présenter ta réponse sous la forme que tu le souhaites.  

QUE PENSES-TU DES ACTIONS DU MAIRE DANS LA VILLE ? : on ne te demande qu'un minimum de deux lignes, tu peux présenter ta réponse sous la forme que tu le souhaites.

'cause you're amazing,
just the way you are
MALO › loneliness is the universal problem of rich people. Tumblr_mhrbef6UqY1s29y53o1_500pseudo/prénom ; écrire ici. ton âge ; écrire ici. comment es-tu arrivé ici ? ; écrire ici. que penses-tu du forum ? des remarques ? des points positifs/négatifs ?; écrire ici. un double-compte ? ; écrire ici. un petit mot pour la fin ; écrire ici. ton smiley favoris ; écrire ici.


Dernière édition par Malo Fowler le Jeu 14 Aoû - 9:51, édité 4 fois
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Malo Fowler
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MessageSujet: Re: MALO › loneliness is the universal problem of rich people.   MALO › loneliness is the universal problem of rich people. EmptyMar 5 Aoû - 19:16

“ We are young. We are strong. We're not looking for where we belong. We're not cool. We are free. And we're running with blood on our knees. ”
” C’que je veux dire c’est que la famille c’est inévitable, c’est comme les impôts ou la mort.  ”
« Maman. Plus tard, je serai le roi du monde. » Elle se met à rire, moi je ne trouve pas cela drôle. Je me demande ce qu'elle trouve d'amusant dans ce que je viens de dire. « Et que feras-tu mon coeur lorsque tu domineras la planète ? » Je me met à réfléchir tandis qu'elle remet droit mon nœud de cravate et qu'elle réajuste mon costume. J'ai tellement d'idées que tout se bouscule dans ma tête. « On me construira une maison au-dessus de l'océan, pour toi, moi et papa. Et on mangera pleins de bonbons et pleins de crèmes glacées. Tout le temps. On touchera aussi les étoiles du bout des doigts et parfois, on ira camper dans les nuages. » Un immense sourire se dessine sur son visage. Je ne lui mentionne pas que je serai surement un tyran. En fait, je pourrai être celui que je veux. Je pourrai changer si ça ne me plaît pas et devenir quelqu'un d'autre. « Tu es adorable. Pour l'instant, tu dois juste te contenter de sourire devant l'objectif et montrer à quel point nous pouvons être fière de notre petit roi. » Je déteste ça. Les photos, les apparences. Je préfère lorsque nous sommes à la maison et qu'on arrête de jouer ce rôle de famille parfaite. Personne n'est parfait et surement pas les Fowler. « Ne boude pas. Tu es plus beau quand tu souris. » J'essaye d'étirer mes lèvres pour que ça donne quelque chose de bien, elle a l'air plutôt satisfaite. Nous allons nous asseoir, accompagné de papa, sur une sorte de canapé dans un faux salon. Le photographe fige l'instant dans son appareil et crée un souvenir de plus qui sera étalé à la une des magazines.

Je m'appelle Malo, comme la ville française "Saint-Malo". C'est un clin d'oeil que mon père à voulu faire puisqu'il est lui-même né las-bas. Il m'a raconté de nombreuses histoires sur cette ville et hormis ma naissance ainsi que son mariage avec maman, il dit souvent qu'il y a vécu ses plus beaux souvenirs. Je suis le fils de Nora Fowler, la co-gérante des industries cosmétique Benefits Cosmetics qui fait partit du groupe LVMH et de Ridge Fowler, le rédacteur en chef de Vogue magazine pour homme. Inévitablement, je suis né en France à Paris, plus précisément, dans des draps de soie avec une petite cuillère argentée dans la bouche. Ce qu'il faut savoir c'est que j'ai passé plus de temps avec la gouvernante Rosa, qu'avec ma chère et tendre maman. Le français est une langue que je maîtrise aisément et j'ai eu beaucoup de mal à assimiler l'anglais d'Amérique. Heureusement que Rosa était là pour sauver les meubles. Elle ne m'a jamais laissé couler et lorsque c'était le cas, elle me repêchait toujours. Le divorce de mes parents a été la période la plus difficile à vivre. Et même si on avait de l'argent à en crever, moi j'en avais rien à faire. J'avais que nos souvenirs et surtout mes mains pour pleurer. Je voulais me cacher dans les nuages et qu'on m'oublie le temps d'un instant. J'avais envie d'être aussi rapide qu'une comète pour pouvoir m'enfuir. Je rêvais d'avoir une baguette magique pour effacer toutes les erreurs. Malheureusement, je n'étais qu'un banal petit garçon de dix ans.  


”I don’t wish to be everything to everyone, but I would like to be something to someone.”
« Adios bitchatchos.  » Regina. Regina Ortega. La fille de X. Ortega et d'Anne Windsor, la fille de la reine d'Angleterre. Tout comme moi, elle est née dans une famille richissime. Cette rousse à la beauté indescriptible n'est autre que ma chère et tendre demi-sœur. Papa Fowler a tiré le gros lot en épousant belle-maman Windsor. Au départ, j'étais contre cette union. Je n'assistais à aucun repas de famille, je préférais de loin récupérer les heures de sommeil qu'il me manquait parce que j'avais assisté à une fête un peu trop arrosé. Je ne faisais aucun effort. J'étais littéralement un gros con. Rosa essayait de me raisonner, elle me disait qu'il serait content si j'étais là pour une fois. Pour Rosa, j'aurais pu le faire. Et parallèlement, j'ai appris à connaître Regina. C'était comme une évidence. Nous étions la même vermine, des copies conformes et surtout malsains. On se comprenait. Je ne vous parle pas d'une histoire incestueuse et encore moins d'amour. Non simplement de moi, Malo, d'elle, Regina et de ce que nous formions ensemble. « 100 dollars que t'es pas cap de te la taper Fowler.  » « Prépare ta tune Ortega. Je vais me la faire et même que je vais me la taper deux fois. Ouais parce que je vais lui laisser mon numéro.  » « Dégueulasse, elle est tellement... banale. » « C'est toi qui l'a voulu bitchy. » « Tu te rends compte que cette histoire pue clairement la MST ? » « Ça restera entre nous. » J'aime sa façon qu'elle a d'essayer de me faire changer d'avis, elle veut gagner même si je crois que dans cette affaire je me suis fait avoir. Tans pis, je ne supporte pas perdre. Nous sommes un duo machiavélique et pervers. Oui, clairement il y a de la perversion dans notre jeu et aussi de la manipulation. Les personnes qui nous critiquent, crèvent clairement de jalousie. Elle représente la femme parfaite à mes yeux même si, parfois je suis bien trop fière pour le lui avouer. Nous nous défions souvent, ce qui met du piment dans nos vies. Ce qui la rend un peu moins fade. Il m'arrive d'oublier ce qu'étais la vie sans elle. Une chanson sans paroles, un livre sans écritures, je crois que j'étais à moitié moi.


” La plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. En fait, on a surtout besoin d’oxygène. ”
Je suis en train de siroter mon verre appuyé sur le comptoir du bar. Une soirée chez les voisins, contrairement à mes parents, je ne pouvais pas louper un tel évènement. La famille Swanson vient de débarquer en ville et je dois dire que je suis intrigué par les membres qui la compose. Commençons par le père, il a l'air d'être blanc comme neige en apparence, mais semble avoir d'étroites relations avec la femme de ménage. Passons à la mère, je dois dire qu'elle ressemble un peu à la mienne. Elle aborde un sourire qui en dit long sur ses intentions, mais surtout elle porte une robe que sa fille pourrait enfiler sans le moindre problème. On voit clairement qu'elle a un problème avec son âge et aussi avec l'alcool. Quand à la fille, elle est tout simplement coincée. Un peu trop intelligente, un peu trop BCBG, un peu trop dans son monde. Malgré tout, elle semble avoir un copain. C'est mignon. Elle est tout l'opposée de son frère. Je la regarde un peu trop longtemps, ce qui semble la gêner ou plutôt l’agacer. J'ai du mal à définir ce que les éclairs dans ses yeux veulent m'envoyer comme message. Je lui fais un clin d’œil et elle réplique en pointant son majeur. La soirée s'annonce plus intéressante que prévue. Quelques verres et quelques heures plus tard, je profite de l'absence du petit ami pour la rejoindre au bord de la piscine. Espérant lui faire payer son acte gracieux et divin qu'elle m'avait adressé. Je m'approche d'elle et lui glisse discrètement dans son oreille : « Plutôt moche pour une aussi jolie fille d'être aussi malpolie. » Je la sens bouillonner et passe mon bras autour de son épaule. « Heureusement pour toi, je ne suis pas rancunier. » Un grand sourire s'affiche sur mon visage. Elle retire mon bras de ses épaules et avec froideur, elle me colle une gifle. L'inconnue essaye de s'enfuir, je rattrape son bras et elle se débat. Je l'encercle et me jette sans pression avec elle dans la piscine. « Espèce de... » « Vas-y je t'écoute exprime le fond de ta pensée. » « T'es qu'un con, je dirai même plus un gros con ! Tu viens d’abîmer ma robe qui provient d'un grand couturier et je te jure que mon copain va te buter pour ce que tu as fait. » « Je crois plutôt qu'il va me remercier et tu sais pourquoi ? Parce qu'elle te vas largement mieux dans cet état, si tu vois ce que je veux dire. » Je suis arrogant, je suis vicieux et un brin pervers. Je suis plutôt fière de moi même si je m'étais auto-rayé à vie de la liste des invités de la famille Swanson.

« Arrête de bouder. T'es pas belle quand tu boudes. » Pas un mot. « C'est moche d'être moche. » Elle essaye de me frapper et je retiens son poing. « T'es un idiot. Tu me rends dingue. Tu peux pas aller emmerder quelqu'un d'autre ? C'est trop demandé d'arrêter de me poursuivre ? » « Je t'ai vu. J'ai vu la façon que tu as de me regarder. Crois-le ou pas, mais un jour tu craqueras Swanson. » Elle se met à rire. « C'est bien de prendre ses rêves pour des réalités, tu peux me lâcher maintenant ? » Je la dévisage de manière gênante, lui rend sa main et la laisse s'éloigner rejoindre son crétin de copain. Elle m'en voulait de l'avoir jeté à l'eau, elle me détestait également parce qu'elle ne supporte pas cette attraction qu'il y a entre nous. Ce jeu que j'avais lancé et dans lequel elle se sentait obligée de participer à chaque fois que l'on se croisait. Je voulais qu'elle soit mienne. Nous étions de parfait opposés. Elle savait tout sur tout et moi je savais tout sur... Tout le monde. Je nageais volontiers dans la fortune de mes parents, je profitais de ma popularité, je n'avais aucun scrupule pour personne. Ce qui me plais indéniablement chez elle, c'est son caractère. Elle me résiste. Elle m'a même dénoncé lorsque son petit copain s'est jeté sur moi et que pour me défendre je l'ai involontairement frappé. Je ne voulais pas qu'on en arrive-là, mais ça se fini toujours comme ça. « Tu sais, ton problème c'est que tu es beaucoup trop coincée. Tu ne vois pas plus loin que le bout de ton nez et je trouve ça dommage. » « Parce que c'est mieux d'être inconsciente comme toi ? Je tiens à ma vie. » « Accorde-moi un rendez-vous. Un seul et je vais te montrer que tu passe à côté d'un tas de choses importantes. » « Comme quoi ? » « Vivre par exemple. » Je ne lâchais pas l'affaire parce que j'en suis persuadé que cette fille a quelque chose que les autres n'ont pas. Elle est juste trop renfermé dans sa bulle et en oublie qu'un tas de trucs méritent d'être vécus. Pendant plusieurs semaines nous jouions à chien et chat jusqu'au jour où tout se mit à basculer. « Moche. » « Crétin. » « Je dois dire que... » « Embrasse-moi. » Je m'exécute. Je colle mes lèvres contre les siennes, je sens un courant électrique parcourir mes veines et je l'embrasse jusqu'à la faire décoller de terre. J'ai attendu trop longtemps. On a attendu trop longtemps. Je la plaque contre le mur, je la couvre de baiser, je la fais devenir mienne. Nous partagions quelque chose de passionnel. « Pas de belle histoire, pas de sentiments, rien. » « Tu sais bien que je ne suis pas le prince charmant. »

« Relève-toi. Une voiture va t'écraser. » « Allonge-toi. » « T'est dingue. Un fou. Je dirais même plus un échappé d'asile. » Elle hésite pendant plusieurs minutes, puis elle me rejoint. Cette fille n'est pas cohérente. Nous sommes allongés au milieu de la route, observant le feu passer du vert au orange jusqu'au rouge et vice-versa. Évidemment, une voiture peu arriver à tout moment surtout au beau milieu de la nuit. Mais ce serait, une bêtise que de lui dire ce qu'elle sait déjà. « A chaque fois que je me sentais seul, je venais ici avec mon meilleur ami. On s'allongeait et on se contentait d'observer les couleurs qui changeaient. On oubliait qui on était pendant quelques minutes, quelques heures. » Je me confie et elle ne comprend pas que pour moi c'est pas naturel de faire ça. Je ne parle jamais de ce que je fais et pourquoi je le fais. Elle me regarde, je ne sais pas si c'est de la pitié ou autre chose, mais on s'en contrefiche en fait. Nos visages se rapprochent puis on entend une voiture arrivée. Une montée d'adrénaline envahit son corps et elle hurle à tout bout de champs. Elle attrape ma main et m'entraîne sur le trottoir. Tout ça, en une fraction de seconde. Elle se met à rire et la voiture qui a failli nous écraser se met à klaxonner en nous traitant de fous. « Tu me fais faire n'importe quoi. » « C'est le but. »


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